Plus nouvelles sur le marché, ces molécules inhibent d’emblée et rapidement l’activité hypophysaire avec arrêt brutal de la sécrétion de FSH et LH, sans stimulation initiale.
De plus, contrairement aux agonistes, on n’observe pas de réduction de la réponse ovarienne à la FSH au cours de la stimulation, ce qui permet de réduire quasi de moitié la dose des gonadotrophines (stimulants) nécessaires. Ceci peut-être intéressant chez les mauvaises répondeuses, ou les patientes ayant tendance à développer un syndrôme d’hyperstimulation ovarienne.
Néanmoins, leur action est plus instable, et certains patientes échappent à leur effet avec, pour conséquence, une élévation de LH au cours du traitement.