L’oestradiol (E2) :

Les taux d’oestradiol sont un bon indicateur de la sensibilité de l’ovaire à l’induction. Ce taux augmente avec le nombre et la taille des follicules recrutés.
Le pronostic de grossesse semble être bien corrélé à la courbe de croissance du taux d’oestradiol.
Facteur de bon pronostic : croissance constante du taux jusqu’au lendemain du déclenchement.
Facteur de mauvais pronostic : stagnation ou chute du taux en cours d’induction.

L’intérêt de ce dosage est remis en question à l’heure actuelle par certaines études et équipes.

(en savoir plus: Intérêts du dosage de l’oestradiol (E2) en phase de stimulation en FIV)

La LH :

Ce dosage semble être de peu d’utilité dans les cycles sous agonistes de la GnRH.

Par contre, il devient intéressant dans les cycles courts ou sous antagonistes, afin de détecter les pics prématurés de LH et de le stopper.

La progestérone :

Le dosage de progestérone permet de détecter le début de la phase ovulatoire, celui-ci restant bas en phase folliculaire et augmentant dès le début du pic de LH.

Monitorage de la stimulation ovarienne en FIV:

Les buts du monitoring

L’échographie

Le döppler

Pour aller plus loin :

Tableaux des dosages hormonaux

 

Pour toutes les réponses à ces questions, je vous conseille l’excellent livre sur la PMA paru en 2017 :

Fécondation in-vitro: